VIVEMENT
VENDREDI !
Collectif d'intervenants en médiation animale en entreprise
En 2019, DOG FRIDAY fut créé afin que chaque vendredi
les entreprises proposent à leurs employés des ateliers de
médiation par l'animal : un moment collectif d'apaisement, d'expression et de cohésion afin de contribuer
à l'épanouissement d'entreprises vivantes.
En 2021, ce DOG FRIDAY devient le collectif OSEMA
afin de mettons en place des programmes personnalisés
de prévention par la médiation animale.
BIENVENUE
CHEZ DOG FRIDAY
Pourquoi ?
Notre mission est de contribuer à une "culture du vivant" en entreprise, c'est-à-dire humanisante, inclusive et vibrante, à l'heure où :
Comment ?
Notre solution est de mettre en place des programmes personnalisés de cohésion par la médiation animale,
sous forme d'ateliers réguliers, et ce grâce à un collectif national d'intervenants qualifiés et formés,
à l'heure où :
36%
des Français déclarent avoir déjà fait
un burn-out, d’après une étude CFDT de Mars 2017
480 000
c'est le nombre de salariés français
en souffrance psychique au travail
dont 30 000 en situation de burn-out,
d’après une étude de l'Institut de veille sanitaire (INVS) en 2015
13 340 euros
c'est le coût global du mal-être au travail en 2018, par an et par salarié, payé par les entreprises,
chiffre en croissance (12 600 euros en 2017),
d’après une étude IBET© du cabinet Mozart Consulting pour le Groupe APICIL,
ayant pour source le secteur privé et ses 18,3 millions de salariés, avec un coût incompressible de 20%. et des coûts compressibles au minimum de 40%
(coûts de désengagement réciproque salarié/employeur + coûts de non-disponibilité liés aux arrêts de travail.)
45%
des Français souhaiteraient avoir de la
médiation animale en entreprises,
d’après une étude « Les Français & la zoothérapie » par Opinion Way
pour DogFidelity & AssuroPoil de Janvier 2016
81%
des DRH et 67 % des employés américains
sont convaincus que la présence des animaux
au travail augmente leur productivité,
d’après une étude PAWrometer™ par Banfield Pet Hospital® en Mars 2016
ECRITS
FAVORISER UNE "CULTURE DU VIVANT" EN ENTREPRISE :
Écouter les bruissements des vivants 🍃
les voix.es de l'écrivain-philosophe Baptiste Morizot :
https://lnkd.in/gwPGFNs
"C'est peut-être un invariant de la rencontre animale : quand on croise un animal sauvage par hasard dans la forêt, une biche qui lève les yeux vers soi, on a l'impression d'un don, un don très particulier, sans intention de donner, sans possibilité de se l'approprier. C'est ce qu'en phénoménologie on appelle un don pur : personne n'a voulu donner, personne n'a rien perdu en donnant, et le don ne vous appartient pas, il pourra se donner à d'autres. On sent monter dedans une improbable gratitude.
Juste l'envie de rendre grâce pour cet imprévu
aussi beau qui en cet instant existe et se donne aux yeux."
"Demain on va au grand air. Ce qui me fascine dans cette formule, c'est comment les contraintes de la grammaire française vous forcent poétiquement à entendre tout autre chose que ce qu'elle dit lorsque vous la prononcez. Comment elle vous force à entendre l'élément le plus opposé à l'air, et le plus complémentaire : "la terre" qui s'impose dans l'oreille."
- Sur la piste animal, 2018 Tendredi,
#poesie #vivants #descola #philosophie #animaux
@humansetanimals @lesballadespoetiques
📷 Baleine à bosse - association Cetamada
